La-Femme (FELLATEST) – selon une récente publication et afin de permettre aux hommes d’obtenir la preuve scientifique de l’infidélité de leurs épouses, des chercheurs ont mis au point un test salivaire permettant de détecter la pratique de fellations extraconjugales illégitimes.
Jusqu’à présent, les hommes doutant de la fidélité de leurs compagnes étaient totalement désarmés pour avoir la preuve irréfutable que celles-ci se livraient à des pratiques buccales réprouvées à la fois par la morale et mais aussi par le Code civil régissant les lois du mariage. Cela ne sera désormais plus qu’un mauvais souvenir.
L’équipe scientifique du docteur Teuber vient de publier les résultats de travaux de recherche ayant conduit à l’élaboration d’un test salivaire – nommé FELLATEST – permettant de détecter, avec un taux de fiabilité proche de 99,9 %, la présence de traces de liquide pré-séminal dans la salive des femmes ayant pratiqué des fellations.
« Le test est basé sur une détection quantique de l’enzyme alcèno-séminal présent naturellement dans le liquide pré-séminal précédant l’éjaculation », précise le docteur Teuber.
Ce qui veut dire qu’une fellation pourra être scientifiquement détectée même si elle n’a pas eu comme finalité une éjaculation de la part du partenaire masculin.
Et de rajouter « Le test peut être réalisé jusqu’à trois jours après l’acte délictueux, l’enzyme alcèno-séminal pouvant survivre facilement dans un milieu chaud et humide comme la cavité buccale. Cet enzyme a la faculté étonnante de pouvoir se dissimuler entre les interstices dentaires ou se confiner bien à l’abri dans les porosités des plaques de tartre »
Contrairement aux tests salivaires destinés à détecter la présence de drogue ou d’alcool, ce nouveau test FELLATEST ne nécessite pas le prélèvement de salive sur la langue à l’aide d’ustensiles spécifiques type coton-tige. L’aspect totalement innovant de ce test réside en effet dans une mise en application d’une discrétion absolue conjuguée avec un excellent taux de fiabilité.
FELLATEST se présente sous la forme d’un petit flacon blanc d’aspect anodin et d’un applicateur en forme de pinceau. Le produit est visqueux, épais mais totalement transparent. Il suffit juste d’en tapisser, par exemple, les bords d’un verre pour que celui réagisse ensuite au contact de la salive de la personne ayant pratiqué l’acte sexuel buccal. Que la fellation ait été réalisée brièvement ou langoureusement (ce qui ne change strictement rien d’ailleurs du point de vue de la morale), la présence d’un infime taux d’enzyme (supérieur à 24 ppm) fait immédiatement réagir le liquide qui prend alors une couleur rouge foncé.
Le produit est proposé en flacon de 5 ml mais un conditionnement en bidon de deux litres est disponible pour les utilisateurs dont les épouses travaillent dans le monde du show-business ou de la politique.
La photographie suivante indique le résultat de deux tests réalisés par le rédacteur en chef du journal Science-info avec une jeune stagiaire qui a bien voulu se prêter à l’expérience :