Les attentes de cet accord sont multiples. Dans un premier volet, pousser encore plus loin les partenariats actifs, en mettant en avant coaching, l’encadrement des petites et moyennes entreprises. Il s’agit également d’accompagner les jeunes diplômées à réaliser leurs projets au bout de deux trois ans, et les aider à exporter à l’échelle internationale.
Par ailleurs, le ministère de la Femme a fait savoir que l’idée de cet accord consiste à développer et à créer des entreprises féminines par région, qui vont générer des emplois et les financer.
Cela dit, relancer l’économie en boostant ces femmes à aller de l’avant sont les défis sur lesquels les deux parties prenantes se sont mises d’accord.
Il est à noter que cet accord a été scellé pour une période de trois ans reconductible.
En Tunisie, l’entrepreneuriat féminin commence à prendre ses marques.