La-Femme (Volkswagen) – Le premier constructeur automobile européen, Volkswagen, a décidé, dans le cadre d’un accord scellé ce vendredi 20 décembre, pour tenter de sauver le groupe en crise, de supprimer plus de 35 000 emplois en Allemagne d’ici à 2030, soit 29% de ses effectifs totaux, afin de réduire les coûts de production, tout en évitant des fermetures d’usines et des licenciements, rapporte Le Monde.
Ces suppressions ne seront pas contraintes, et devraient notamment passer par des départs à la retraite non remplacés, ont souligné les représentants du personnel.
« Nous avons réussi à trouver une solution pour les employés des sites de Volkswagen qui garantit les emplois, préserve la production dans les usines et permet en même temps d’importants investissements futurs », a déclaré Thorsten Gröger, négociateur du syndicat IG Metall, se félicitant, lors d’une conférence de presse, de mesures de réduction des coûts qui respectent les lignes rouges du syndicat.
« Il n’y aura pas de fermeture d’usines et les licenciements économiques sont exclus », a-t-il assuré, alors que ce scénario n’était pas écarté par Volkswagen. Selon les syndicats, la direction voulait au départ supprimer 55 000 emplois, lit-on de même source.Volkswagen, le premier constructeur automobile européen, va supprimer plus de 35 000 emplois, sans fermeture d’usines
Le premier constructeur automobile européen, Volkswagen, a décidé, dans le cadre d’un accord scellé ce vendredi 20 décembre, pour tenter de sauver le groupe en crise, de supprimer plus de 35 000 emplois en Allemagne d’ici à 2030, soit 29% de ses effectifs totaux, afin de réduire les coûts de production, tout en évitant des fermetures d’usines et des licenciements, rapporte Le Monde.
Ces suppressions ne seront pas contraintes, et devraient notamment passer par des départs à la retraite non remplacés, ont souligné les représentants du personnel.
« Nous avons réussi à trouver une solution pour les employés des sites de Volkswagen qui garantit les emplois, préserve la production dans les usines et permet en même temps d’importants investissements futurs », a déclaré Thorsten Gröger, négociateur du syndicat IG Metall, se félicitant, lors d’une conférence de presse, de mesures de réduction des coûts qui respectent les lignes rouges du syndicat.
« Il n’y aura pas de fermeture d’usines et les licenciements économiques sont exclus », a-t-il assuré, alors que ce scénario n’était pas écarté par Volkswagen. Selon les syndicats, la direction voulait au départ supprimer 55 000 emplois, lit-on de même source.